27/11/2019
Un autre protecteur du temple. Il s'agit d'Umarokya. Il est l'un des quatre gardiens Yasha de la porte Yashamon. Ce temple nécessite de monter pas mal de marches, mais il n'en reste pas moins très sympathique à visiter. Nous n'avons pas croisé beaucoup de visiteurs lors de notre passage.
27/11/2019
Avant de rentrer dans les temples japonais, on franchit différentes "portes" appelées Mon. Celles-ci abritent régulièrement des statues de divinités ayant pour rôle de garder le temple contre les mauvais esprits. Ici, il s'agit de Misshaku-kongo, un des deux gardiens Niō de la Niōmon du temple Taiyū-in. La statue fait 3 mètres de haut.
27/11/2019
Un autre temple isolé de Nikkō, il s'agit a priori d'un des plus ancien temple du sanctuaire Futarasan. Aujourd'hui temple auxiliaire, il serait le temple a l'origine du sanctuaire Futarasan. Il est beaucoup plus petit et un peu excentré par rapport aux temples plus majeurs de Nikkō, mais de fait on croise beaucoup moins de monde.
29/11/2019
Sur la photo, il s'agit de la porte ouest (Sai-mon) du Kiyomizu-Dera, considéré longtemps comme un passage vers le Paradis. Le Hall principal du temple se trouve un peu plus loin. Dans la culture japonaise, si l'on sautait du Kiyomizu-Dera et que l'on survivait à la chute de 15 mètres alors notre vœu se réaliserait. Il fallait compter sur la chance et la végétation au pied de la falaise pour amortir la chute, bien sûr cette pratique est depuis longtemps interdite. Il existe une expression qui y fait référence: Kiyomizu no butai kara tobioriru qui signifie Sauter du Kiyomizu. Le Kiyomizu-Dera était en rénovation lors de notre venu au Japon, en préparation aux Jeux Olympiques.
25/11/2019
Lors de notre visite du Meiji-Jingu nous avons pu assister à la procession d'un mariage traditionnel. Les mariages traditionnels sont peu nombreux de nos jours au Japon. C'est dans les années 1900 que cette cérémonie est codifiée. Ce sont les mariés que l'on retrouve sous l'ombrelle rouge tenue par un kannushi (prêtre shintō) et précédé par deux miko (assistante des prêtres shintō). Leur famille proche suit la procession.