29/11/2019
Les pagodes aux abords des temples bouddhistes sont courantes. Il est rarement possible de les visiter. Autrefois, elles ont eu un rôle religieux comme reliquaire, mais au fur et à mesure du temps elles ont été reléguées au second plan et ont perdu ce rôle-là au profit d'autre bâtiment des temples. Elles sont toujours constituées d'un nombre impair d'étages même si parfois on a l'impression que non, il y a dans ce cas-là des avancées de toits purement décoratives. On en trouve principalement composé de trois ou cinq étages.
29/11/2019
La forêt environnant le temple Kiyomizu-Dera s'est parée de ses plus belles couleurs lors de notre visite. Le temple était en travaux et la totalité de la structure bâchée mais les environs eux nous en ont quand même mis plein les yeux. En dehors de rare moment de pluie au tout début, notre voyage a été plutôt chanceux niveau météo, même si c'était couvert, ça n'a jamais contrarié nos plans.
29/11/2019
Le parc du Kyōto-gyoen fait 1300 mètres par 700 mètres et se situe au cœur de Kyoto. En son sein, on retrouve l'ancien palais impérial. C'est seulement en 1869 que Tokyo est devenu la capitale du Japon et que l'empereur a déménagé là-bas. Il a été néanmoins utilisé pour les couronnements des empereurs Taishō (1912) et Shōwa (1926). Comme beaucoup de monuments japonais, il a été détruit à plusieurs reprises par des incendies et sa dernière reconstruction et celle que l'on peut voir aujourd'hui date de 1855. Seul l'extérieur du palais est accessible à la visite. Ce pont et cet étang se situe dans l'enceinte du palais.
28/11/2019
Si la saison de la fleuraison des cerisiers (sakura) est la période qui attire le plus de touristes. C'est aussi celle qu'il est facile de rater complètement, car elle est éphémère et son démarrage dépendant de la météo. L'automne, c'est les érables japonais dont les feuilles prennent des teintes rouges (kōyō). Les arbres des parcs et forêts prennent alors des teintes jaunes, oranges, rouges pendant quelque temps avant que les feuilles ne tombent. Si sur Tokyo nous n'avons pas spécialement pu observer ces couleurs, nous pensions avoir raté la période. Au premier jour sur Kyoto, en montant le mont Inari, on est tombé sur ce petit érable isolé, mais il nous a rassuré quant à nos chances d'en voir d'autres.
28/11/2019
Une autre vue des nombreux Toriis du mont Inari. Le temps ayant raison de certains, ceux-ci sont remplacés par d'autres. Il y a toujours des donateurs (entreprises ou particuliers) pour avoir les faveurs de la déesse Inari, déesse de l'abondance et de la richesse. La tradition remonte à la période Edo (1603-1868) En continuant l'ascension, on peut voir différents sanctuaires et de nombreux tertres (tsuka) érigés pour exprimer sa gratitude ou des prières.