28/11/2019
Si la saison de la fleuraison des cerisiers (sakura) est la période qui attire le plus de touristes. C'est aussi celle qu'il est facile de rater complètement, car elle est éphémère et son démarrage dépendant de la météo. L'automne, c'est les érables japonais dont les feuilles prennent des teintes rouges (kōyō). Les arbres des parcs et forêts prennent alors des teintes jaunes, oranges, rouges pendant quelque temps avant que les feuilles ne tombent. Si sur Tokyo nous n'avons pas spécialement pu observer ces couleurs, nous pensions avoir raté la période. Au premier jour sur Kyoto, en montant le mont Inari, on est tombé sur ce petit érable isolé, mais il nous a rassuré quant à nos chances d'en voir d'autres.
28/11/2019
Une autre vue des nombreux Toriis du mont Inari. Le temps ayant raison de certains, ceux-ci sont remplacés par d'autres. Il y a toujours des donateurs (entreprises ou particuliers) pour avoir les faveurs de la déesse Inari, déesse de l'abondance et de la richesse. La tradition remonte à la période Edo (1603-1868) En continuant l'ascension, on peut voir différents sanctuaires et de nombreux tertres (tsuka) érigés pour exprimer sa gratitude ou des prières.
27/11/2019
Un autre protecteur du temple. Il s'agit d'Umarokya. Il est l'un des quatre gardiens Yasha de la porte Yashamon. Ce temple nécessite de monter pas mal de marches, mais il n'en reste pas moins très sympathique à visiter. Nous n'avons pas croisé beaucoup de visiteurs lors de notre passage.
27/11/2019
Avant de rentrer dans les temples japonais, on franchit différentes "portes" appelées Mon. Celles-ci abritent régulièrement des statues de divinités ayant pour rôle de garder le temple contre les mauvais esprits. Ici, il s'agit de Misshaku-kongo, un des deux gardiens Niō de la Niōmon du temple Taiyū-in. La statue fait 3 mètres de haut.
27/11/2019
Un autre temple isolé de Nikkō, il s'agit a priori d'un des plus ancien temple du sanctuaire Futarasan. Aujourd'hui temple auxiliaire, il serait le temple a l'origine du sanctuaire Futarasan. Il est beaucoup plus petit et un peu excentré par rapport aux temples plus majeurs de Nikkō, mais de fait on croise beaucoup moins de monde.